CREVECOEUR-le-GRAND, histoire pittoresque d'un hôpital local
Editorial
L'hospice Saint-Jean-Baptiste, vite appelé Caron-Pinchon, s'est agrandi en 1913 par la construction neuve d'un hôpital-hospice sur un emplacement différent. Ce bel hôpital-hospice cantonal élevé dans un grand enthousiasme n'a preque pas vécu dans sa conception architecturale hospitalière d'origine. Devenu sanatorium départemental indépendant, les difficultés lui ont coupé les ailes. Cet hôpital a été abandonné à d'autres instances administratives.
Par définition c'est à dire par sa vocation d'établissement charitable, réanimant le lieu de sa fondation, l'hospice Caron-Pinchon a rebondi, s'est reconstruit et s'est même consédérablement agrandi et diversifié, retrouvant un dynamisme certain, et une grande vigueur que l'étalement des bâtiments dans l'espace montre à l'évidence. Il n'a fait que croître en espace et en nombre de lits.
Hospice Saint-Jean-Baptiste, Hospice Caron-Pinchon, Hôpital-Hospice, Vieil Hospice, Nouveau Pavillon, Hôpital rural, Hôpital cantonal, Hôpital local, Maison de retraite et de cure ne font qu'un seul et même établissement de santé au propre et au figuré.
Partant d'un petit morceau d'aile, considérée preque comme une annexe au château des Larochefoucauld-Liancourt, il a finit par englober et tentaculairement occuper ma quasi totalité du château et de son parc. Je remercie très sincèrement "notre" Directeur délégué Eric Jullian de nous avoir entraîné dans cette aventrue. Je remercie toute l'équipe de travail d'avoir toujours manifesté une bonne humeur constante, un enthousiasme certain et une ardeur au travail remarquable.
Pierrette Bonnet-Laborderie, Présidente du Gemob.
Textes :Bonnet-Laborderie Pierrette, Cayla Roland, Aychenne Brigitte, Hiquebrant Joël, Jullian Eric, Lefebvre Barbara.
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